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PRÉAMBULE AUX PARCOURS LiiNK

 

« Un nom d’homme ou de lieu, si l’on ne met derrière lui des réalités humaines, est tout bonnement un vain son […]. Être “précis”, c’est se tenir proche du concret ; ce n’est pas étiqueter à tour de bras des tiroirs vides. »

M. BLOCH, Annales d'Histoire sociale, 1940

Les parcours LiiNK proposent deux parcours distincts d'apprentissage de la langue française : le parcours universitaire 30 et le parcours scolaire 250. Le premier propose 30 activités pensées sur 5 niveaux pour permettre une appréhension globale de la langue : il est particulièrement adapté à des révisions de fin de collège ou de lycée accompagnées par un enseignant, et à la formation d'un étudiant ou d'un adulte en autonomie. Le second propose autour de 250 activités très variées qui permettent une évolution plus graduée, pensée sur 9 niveaux (possiblement du CM1 à la Terminale). Les deux parcours cependant reposent sur les mêmes éléments : des compétences (qu'on décline donc sur 5 ou 9 niveaux), des corpus d'études et des cartes mentales.

I. DES COMPÉTENCES

Des tutoriels mettent en évidence les faits de langue travaillés dans chacune des compétences et la manière dont les parcours les appréhendent :

● Compétence 1 : le groupe nominal.

● Compétence 2 : la phrase simple.

● Compétence 3 : la phrase complexe.

● Compétence 4 : les types et les formes.

● Compétence 5 : les modes et les temps simples de forme active.

● Compétence 6 : les auxiliaires "être" et "avoir"

● Compétence 7 : l'orthographe.

Un tutoriel d’introduction est aussi disponible.

II. UN TRAVAIL PAR CORPUS D'ÉTUDE

 

Les activités par corpus d'étude ne sont pas des exercices d'application qui visent à vérifier qu'une règle est comprise. Il nous faut reconnaitre que la langue n'est pas un objet figé qui accepte d'entrer dans des règles si facilement. Les activités permettent donc de l'observer de l'intérieur, d'entrer dans son "intelligence", de voir son fonctionnement "organique".

Ce sont des tâches complexes qui vont permettre à un élève ou à un étudiant en autonomie de manipuler des éléments (en classant, déplaçant, transformant) afin de saisir à la fois la régularité de notre langue, ses moments rationnels, mais aussi ses moments d'instabilité.

Les éléments du corpus (groupes de mots ou phrases) sont choisis avec soin en fonction de la compétence et du niveau. La question est toujours double pour un concepteur de corpus : "Que révéler, à quel moment ?".

Découvrir quelques exemples d'activités dans les différentes compétences du parcours 250

Toutes ces considérations définissent les conditions les plus favorables à la mise en place d'une activité par corpus d'étude.

 

Pour des élèves accompagnés par un enseignant d'abord :

● Les consignes et le corpus sont si possible vidéoprojetés en permanence ou imprimés.

● Les élèves travaillent par équipe de 2 à 6 : on les composera plutôt par affinité si on lance un défi à la classe, par hétérogénéité "macro" (un même degré d'expertise dans chaque équipe) si l'on souhaite adapter les corpus, par hétérogénéité "micro" (des élèves d'expertise différente dans chaque équipe) quand l'on souhaite créer du rythme et de l'entraide.

● Un esprit d'"expérimentateur" : on sort de l'idée de "faute", on sort de l'idée de "tout bon" ou "tout faux". Les activités sont des ateliers : on met les mains sur une matière brute, on essaie de voir ses mouvements, on tâtonne, on échoue, on discute, on débat, on réussit. La correction sert à montrer ce qui était attendu mais elle n'est pas toujours une fin. Elle doit permettre de recommencer en y voyant plus clair afin de "réussir l'expérience" avec une autonomie accrue.

● Les schémas quand ils sont mobilisés peuvent être imprimés en grand (un par équipe par exemple), voire plastifiés pour permettre d'effacer et de recommencer facilement comme sur une ardoise.

 

Pour un étudiant en autonomie :

● Il ne faut pas hésiter à travailler à plusieurs et à beaucoup échanger.

● Il y a différentes façons de graduer la difficulté de votre "expérience" par vous-mêmes : vous les découvrirez dans la partie "L'explication de l'activité".

● Vous pouvez travailler avec plusieurs choix d'"entrées" que nous décrivons tout de suite.

III. L'EXPLICATION DE L'ACTIVITÉ

 

Chaque activité a son explication, proposant tout ou partie des entrées suivantes.

Les objectifs et précisions sur l’activité

Ils sont principalement à destination de l’enseignant ou d’un étudiant en autonomie.

● Cette entrée propose toujours donc les objectifs de l’activité.

● Mais elle donne aussi parfois quelques précisions sur la conception du corpus, parfois sur ses limites et propose souvent des pistes possibles d’aménagement.

Tout est en effet modulable dans une activité par corpus : il s’agit d’une tâche complexe, pas d’un exercice d’application. Il est donc tout à fait possible de la questionner en fonction de son public, de la modifier et même de décider de la réserver pour un niveau différent ou de l’écarter. Ces précisions permettent donc une prise de distance et une appropriation.

 

Les éléments à considérer

Ils peuvent proposer :

● Une explicitation de la consigne.

● Une méthode ou des astuces pour réussir l’activité.

● Une histoire de la langue.

● Des points d’attention particuliers.

● Des renvois à d’autres activités.

Ces éléments donnent ainsi toutes les informations nécessaires à la construction d’une leçon.

 

Ils sont principalement à destination :

● de l’enseignant qui souhaite bien appréhender le sens de l’activité pour accompagner ses élèves.

● de l’étudiant qui travaille en autonomie et qui veut s’emparer du fait de langue mis en évidence par l’activité.

Même s’ils se veulent exhaustifs et sont parfois complexes, on  peut décider de proposer ces éléments (tout ou partie) à des élèves. Nous avons adopté un style qui se veut détendu pour cette raison.

 

Le tableau à exploiter ou pas

Il permet d’aider au classement des phrases. Cette aide est parfois indispensable quand l’activité est vraiment complexe.

● Un enseignant peut choisir de le donner en entier, de classer déjà quelques phrases pour faciliter la tâche, de retirer certains titres pour la rendre plus difficile ou encore de ne pas le donner du tout.

● Un étudiant en autonomie peut choisir de s’en servir comme base de travail, d’y jeter un œil ou de ne pas le regarder du tout.

On peut jouer avec le temps bien sûr :

● On peut décider de montrer ou de regarder le tableau avant même de commencer l’activité ; et imaginer de refaire l’activité cette fois sans aide, après avoir mémorisé les entrées du tableau.

● On peut décider de le montrer ou de le regarder après un certain temps ou une situation de blocage.

● On peut choisir de ne jamais l’utiliser, comme un défi…

 

La correction

Tout comme les « éléments », la correction peut être la base d’une leçon traditionnelle.

Nous proposons parfois deux modèles de correction possible.

Attention, pour permettre une visualisation complète du tableau ou de la correction, nous les basculons souvent sur une deuxième ou troisième page. Il faut donc penser à vérifier si la première page est unique ou pas.

IV. LES CARTES (OU SCHÉMAS)

 

La carte (ou schéma) de la compétence

Qu'on les nomme cartes en parcours 30 ou schémas en parcours 250, nous proposons toujours, pour chaque activité, un support visuel associé à la compétence travaillée. Il est parfois nécessaire à sa réalisation, parfois simplement utile.

Par exemple pour travailler la compétence 1, il faudra presque toujours utiliser la carte (ou le schéma) 1.

Parfois une même compétence peut exiger deux schémas dans le parcours 250 : c’est le cas de la compétence 2 qui nécessite le schéma 2A pour certaines activités et le 2B pour d’autres.

 

La carte (ou schéma) des enjeux

La carte ou schéma des enjeux (qui s'adresse plus particulièrement à un enseignant ou à un étudiant en autonomie) est transversal, englobant les 6 premières compétences. Il peut être consulté à tout moment mais particulièrement quand l’activité met en évidence un "enjeu", c’est-à-dire :

● Une circonstance, en compétences 1 et 2.

● Une relation, en compétence 3.

● Un type ou une forme, en compétence 4.

● Une valeur, en compétences 5 et 6.

 

Les enjeux sont toujours écrits en majuscules pour signifier leur aspect « primordial » : ils sont le sens, ce que l’on cherche à exprimer.

V. ABRÉVIATIONS

 

Les parcours LiiNK évitent toute abréviation sauf pour les fonctions, qui sont aussi systématiquement passées en couleur. Ces abréviations sont toujours listées en schéma / carte 2. Nous les rappelons ici :

S : Sujet

V : Verbe

ATT-S : Attribut du Sujet

CO-D : Complément Objet Direct

CO-I : Complément Objet Indirect

CAGT : Complément Agent

ATT-COD : Attribut du COD

CC-V : Complément Circonstanciel du Verbe

CC-P : Complément Circonstanciel de la Proposition

CDN : Complément du Nom

ÉP : Épithète

APP : Apposition

CADJ : Complément de l’Adjectif

Quand une fonction est écrite en entier, nous mettons toujours une majuscule à ses initiales : Complément Agent.

De même pour les propositions subordonnées. Par exemple :

● Proposition subordonnée Complétive conjonctive.

● Proposition subordonnée Circonstancielle participiale.

● Proposition subordonnée Épithète relative.

PARTICULARITÉ DU PARCOURS UNIVERSITAIRE 30

 

Le parcours universitaire 30 est un parcours de formation supérieure réservé à des révisions de fin de collège ou de lycée, à une formation universitaire ou une formation d'adulte autodidacte.

● Il est normalement accessible sans l'accompagnement permanent d'un enseignant ou d'un formateur.

● Il est très resserré et permet une appréhension immédiate du système de la langue dans sa globalité : il repose sur 6 compétences et 5 niveaux avec pour chaque compétence une CARTE unique, qu'on ne gradue pas.

● Il ne repose par sur une progression scolaire et peut donc développer tous les enjeux dès le premier niveau avant d'en venir à les détailler.

Quand on évolue dans le parcours 30, il est préférable de commencer par l'activité de la CARTE 1, NIVEAU E, et de poursuivre à l'horizontale dans le NIVEAU E : CARTE 2, CARTE 3, etc. Puis poursuivre avec le NIVEAU supérieur, le NIVEAU D, et ainsi de suite.

Si vous souhaitez avancer par CARTE, à la verticale (par exemple faire toutes les activités de la CARTE 1 à la suite), libre à vous, c'est très formateur aussi. Cependant :

● Premier point : il vous faudra bien sûr les faire dans l'ordre (du NIVEAU E au NIVEAU A).

● Second point : par moment vous risquez d'être ennuyés, il vous manquera des éléments. Nous le notons dans le tableau du parcours : par exemple pour réussir l'activité de CARTE 1, NIVEAU C, il est préférable d'avoir "débloqué" auparavant l'activité de CARTE 2, NIVEAU D.

PARTICULARITÉ DU PARCOURS SCOLAIRE 250

 

Une progression scolaire

Le parcours 250 propose autour de 250 activités alignées sur une progression en 7 compétences et 9 niveaux, strictement élaborée à partir des derniers Repères de progression des programmes français (du CM1 à la Terminale) ainsi que des recommandations de la Grammaire du français. L'élaboration de cette progression a été patiente et a croisé de nombreux regards.

 

Elle a d’abord été initiée depuis le terrain, de 2015 à 2018, en Collège et en liaison avec le Premier Degré et le Lycée. Elle a ensuite été développée sur l'Académie de Montpellier dans le cadre des différentes fonctions de l'auteur : Coordinateur du Groupe de Travail en Langue, Chargé de Mission sur la Maitrise de la Langue et Prévention de l’Illettrisme, Expert national, Formateur IUFM ou encore Membre du Directoire du CRPE.

 

La formalisation de cette progression s’est ensuite faite dans le cadre des fonctions d’EEMCP2 de l'auteur (conseiller pédagogique du réseau AEFE, zone Amérique du Nord), à travers des expériences riches et variées de 2018 à 2021 :

● des missions auprès des équipes des Lycées français (de San Francisco, Houston, Dallas, Miami, Boston, New-Orleans, Calgary ou Toronto par exemple),

● des stages de formation et des laboratoires de langue mis en place par l’Inspection de Zone,

● ou encore un Séminaire à Paris en présence des EEMCP2 de tout le réseau (17 zones dans le monde).

Elle a enfin été questionnée, affinée et finalisée par dix enseignants de l’équipe de Lettres du Collège Stanislas de Montréal dans le cadre d’ateliers mensuels très denses.

Tous ces travaux ont été menés sous l’égide de M. Vincent Perrot, IA-IPR de Lettres de l’AEFE, et en collaboration avec Laurence Madamour, Ségolène Merlet, Amélie Beaufour et Christèle Dufour (CPAIEN et EEMCP2 de la Zone Amérique du Nord).

Trois entrées possibles

​On peut entrer dans les activités de trois façons à partir du bandeau.

L'entrée par compétence

● Elle propose de voir toutes les activités réunies autour d’une même compétence : par exemple la compétence 1 du niveau 8 au niveau 0.

● C’est intéressant pour une équipe d’enseignants qui souhaite organiser une progression sur plusieurs niveaux ou pour un enseignant ou un étudiant qui veut se former sur une compétence complète. Attention cependant : certaines activités d'une compétence sont facilitées si vous avez maitrisé une activité d'une autre compétence d'un niveau antérieur. C'est généralement précisé. Par exemple, travailler sur le mode participe en compétence 1, niveau 5, sera facilité si vous avez travaillé sur sa définition en compétence 5, niveau 6...

L'entrée par compétence propose enfin de distinguer plusieurs "sous-compétences" : par exemple, la compétence 5, "Maitriser 5 modes et 5 temps simples de forme active" se subdivise en "Questionner les valeurs des 5 modes", "Questionner la valeur des 5 temps" et "Conjuguer". Les activités sont donc distribuées dans trois colonnes différentes mais vous pouvez très bien décider de ne pas y prêter attention.

L'entrée par niveau

● Elle propose de voir toutes les activités d’un même niveau : par exemple le niveau 6 (qui correspond à la 6e dans le système français) de la compétence 1 à 7.

● C’est intéressant pour un enseignant qui veut organiser sa progression à l’année. On peut imaginer travailler par exemple une compétence par mois : septembre, compétence 1, octobre, compétence 2 et ainsi de suite jusqu’en mars. Attention cependant, vous pouvez très bien considérer que le niveau d’une classe de 6e correspond au niveau 8 ou au niveau 7 du parcours 250.

 

Télécharger un exemple de progression annuelle de niveau 3 ancrée sur une progression linguistique.

L'entrée double

● Elle donne une vue d’ensemble des quelque 250 activités.

● Grâce à l'outil de recherche de votre navigateur, vous pourrez trouver toutes les activités sur un même fait de langue : le « pronom » ou la « virgule » par exemple.

N’oubliez pas qu’en cliquant Ctrl + ou Ctrl - en ligne vous pourrez agrandir ou réduire la page.

 

Activités principales, activités secondaires

​À la manière d’un jeu de rôle, certaines activités, marquées par une étoile ★, correspondent à une « quête principale » : elles permettent de construire la compétence. Les autres, « secondaires », permettent d’explorer davantage et d’affermir son autonomie.

 

Gradation des activités

​À partir du niveau 5, le lexique des corpus se veut parfois plus élaboré : l’élève ou l’étudiant doit s’appuyer sur sa connaissance de la syntaxe et être capable de repérer une organisation sans même avoir le sens de tous les mots. Cette autonomie permettra par ailleurs une certaine aisance dans les langues étrangères.

 

À partir du niveau 2, les activités n’ont plus pour objectif de construire une compétence.

Les activités linguistiques par corpus ne sont en effet jamais une fin en soi : elles sont pensées pour permettre ensuite une activité langagière (de lecture, d’écriture ou d’oral) claire et stylée. Elles sont, pour le dire simplement, pensées pour conduire au littéraire. Les activités des niveaux 1, 2 et 0, invitent donc à explorer l’ « indomptabilité » de notre langue et à découvrir la façon dont certains auteurs exploitent leurs propres compétences linguistiques pour la « chevaucher » avec style et clarté. Idéalement, elles doivent donner le goût d’en faire de même.

Elles ne sont donc pas des « sommes ». Un élève ou étudiant qui souhaite affermir ses compétences devra plutôt reprendre les activités de la « quête principale » des niveaux précédents, du niveau 8 (qui pose les bases) au niveau 3 (qui reprend naturellement tous les enjeux).

Plusieurs schémas

La plupart des schémas de chaque compétence du parcours 250 se complexifient d'un niveau à l'autre.

Nous proposons donc toujours, pour chaque activité, deux versions du schéma associé à la compétence travaillée :

● Le schéma du niveau : il correspond au niveau de l’activité et va permettre d’y travailler de façon adaptée. Par exemple une activité sur la compétence 3, niveau 5, mobilisera tout simplement  le schéma de la compétence 3, niveau 5.

● Le schéma de niveau 0 : il correspond au schéma de la compétence dans sa version finale (classe de terminale dans le programme français) pour donner une vue d’ensemble aux curieux.

 

Un schéma associé à une autre compétence est aussi parfois proposé comme éclairage. Par exemple si l’on travaille sur la compétence 5, il peut être utile d’utiliser le schéma de la compétence 2.

Trois personnages et une quête

L'entrée par niveau est doublée d'une entrée par "royaume". Le fonctionnement est le même mais avec un habillage d'heroic fantasy pour insister sur l'idée de quête : les neuf niveaux sont associés aux neuf royaumes de la mythologie scandinave.

● Les trois niveaux du cycle 3 correspondent aux royaumes de Mannheim, Svartalfheim et Jötunheim, et sont associés à la couleur rouge.

● Ceux du cycle 4 correspondent aux royaumes de Helheim, Niflheim et Muspellheim, et sont associés à la couleur verte.

● Ceux du cycle 5 (lycée) correspondent aux royaumes de Gotheim (ou la fameuse Asgard), Vanaheim et Alfheim, et sont associés à la couleur bleue.

Trois petits personnages accompagnent l'aventure :

● La guerrière rouge appartient aux royaumes rouges.

● L'aventurier vert appartient aux royaumes verts.

● Le mage bleu appartient aux royaumes bleus.

Nous nous sommes aussi inspirés pour créer cet univers de la "tripartition indo-européenne", telle que décrite par exemple par George DUMÉZIL :

"On se souvient que les cavaliers migrateurs qui, vers la fin du troisième millénaire avant Jésus-Christ, se répandirent par vagues successives à travers toute l’Europe et jusqu’aux confins de l’Inde - les Indo-européens - appréhendaient le monde au moyen d’un système de catégories [...] le droit et le sacré sur le premier niveau, la force physique et principalement guerrière sur le second, enfin la fécondité et la richesse."

G. DUMÉZIL, Préface de Joël H. GRISWARD, Esquisses de mythologie, France, 2003

Nous avons craint un moment que ce code de couleur "culturel" puisse brouiller le code de couleur linguistique mais ils se superposent plaisamment :

● La guerrière et le Verbe sont associés à l'action.

● L'aventurier et le Complément Circonstanciel ont en commun leur goût pour la liberté.

● Et le mage comme le Sujet dirige sa petite tribu !

Nous ne leur avons pas donné de nom : nous sommes persuadés que certains élèves auront à cœur de le faire eux-mêmes !

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